C’est les vacances pour bon nombre d’entre nous, et le reste de l’année je suis plutôt lectrice d’essais - et de poésie bien sûr.
Mais là, c’est ma pause romans, et il se trouve que les 2 que j’ai lu sont construits de la même manière, et me rappelle la construction d’un roman que j’ai lu il y a quelques années.
Il s’agit de :
- Le chant des plaines, de Wright Morris
- Les dames de Kimoto, de Sawako Arivoshi
- Sur les rives de Manhattan, de Charles Reznikoff
Les trois fonctionnent en 2 parties :
1/ la première concernant un personnage fin 19eme ou debut 20eme
2/ la deuxième consacrée à la génération suivante via les enfants du premier personnage.
Et le résultat est fascinant à chaque fois, puisqu’il s’agit de mettre en valeur les changements profonds de la société et de ses impacts sur les familles, les communautés, les façons de vivre.
Les préoccupations ne sont plus les mêmes, ni les rêves.
Et je trouve que c’est une manière pertinente d’aborder le sujet de l’intergénérationnel en entreprise : la société a changé, les préoccupations des jeunes salariés aussi, et pourtant, comme l’on comprend les anciens, qui ont fait du mieux qu’ils ont pu avec les cartes qu’ils et elles avaient en main.
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